J'écris mes articles comme je le faisais pour écrire mon blog en 2009, c'est-à-dire sans l'aide d'une IA pour la conception initiale. Mes recherches, mes expériences et mes réflexions sont le fruit de mon travail personnel. Je ne fais pas de veille sur des sujets que je ne maîtrise pas (du moins, partiellement), je ne partage pas de contenu que je n'ai pas validé moi-même.

Même si cela diminue ma productivité, je préfère passer plus de temps à rédiger un article qu'à le déléguer à une IA. C'est le seul moyen pour moi de continuer à prendre du plaisir à écrire et maitriser mes sujets.

J'utilise des outils d'intelligence artificielle de la même manière que l'on utiliserait un correcteur orthographique ou un traducteur linguistique, uniquement pour des tâches annexes en fin de rédaction :

• La reformulation de phrases : Pour éviter des répétitions inutiles et trouver des mots plus adaptés, l'IA peut proposer des alternatives qui améliorent la fluidité tout en préservant mon message original.
• La correction des fautes d'orthographe et de grammaire : L'IA permet de détecter et corriger automatiquement les erreurs linguistiques.
• La recherche de synonymes : Comme je le faisais auparavant avec “synonyme de” dans Google.

La version anglaise de ce site s'appuie intégralement sur la version française que je traduis à l'aide de l'API de DeepL via le plugin DeepL Autotranslate Plugin

Les IAs sont avant tout des outils, il ne faut pas les banirs, mail il est important de les utiliser à bon escient et de laisser l'humain s'exprimer sans que son message ne soit déformé par l'usage d'un LLM.